Causes psycho-émotionnelle de l’anémie : Extrait du « Grand Dictionnaire des malaises et des maladies » de Jacques Martel Editions Quintessence

L’anémie est la diminution du taux d’hémoglobine dans le sang. L’anémie ferriprive (due au manque de fer dans le sang) est la forme la plus fréquente.

Le sang représente la joie de vivre, l’amour et les émotions.

Cet état d’anémie est relié à un manque de joie, de force et de profondeur dans l’amour que j’ai pour moi et les autres ; à mes doutes dans ma capacité à aimer vraiment avec force et détermination ; à un découragement et au refus de vivre ou à l’impression d’être sans valeur et d’avoir des résistances face à l’amour, d’où cette dévalorisation de ma personne. Je me dévalorise dans ce qui me fait vivre, ce qui me transporte dans ma vie, notamment mes espoirs et mes aspirations.

Je vis ma vie en « oui, mais… » donc avec peu ou pas d’intérêt, en me sentant restreint par tout.

Ainsi je pense ne pas pouvoir réaliser mes aspirations les plus profondes.

Chemin de lumiere vers le bien-être

J’ai l’impression que je vais m’écrouler, que ma vie ou que ma famille s’émiette.

Ce qui me fait vivre, me transporte ne vaut plus grand chose à mes yeux. Je dois être appuyée par d’autres, car j’ai l’impression de ne pas être assez fort(e) pour réaliser mes désirs profonds.

Je peux même vivre du désespoir et de la résignation.

Je me sens miné, faible et je blêmis, tant j’ai l’impression d’être drainée de mes énergies. C’est comme si quelqu’un me suçait le sang, je me retrouve en miettes…

J’étouffe dans mon milieu ou souvent dans ma famille dont je me sens à l’écart.

Pourquoi ai-je à aller jusqu’à l’épuisement pour être reconnu par les gens que j’aime ?

Je peux aussi manifester beaucoup de rigidité face aux événements de la vie.

Je peux même en vouloir à quelqu’un au point de vouloir le supprimer, pensant que cela va alléger mon fardeau.

En anglais le Fer se dit « Iron », et on peut faire un jeu de mot en remplaçant Iron par « I run » qui veut dire en français « je cours ». De même, on peut remplacer le mot « fer » par son homonyme « faire ». Ainsi la personne anémique ne sent plus suffisamment de joie et de motivation à accomplir tout ce qu’il y a à faire (il y a un manque de « faire » ou un manque « à faire ») et ne se sent plus en mesure de courir pour obtenir ce qu’elle veut.

J’ai l’impression que je ne peux pas faire ce qu’il faut pour régler une situation ou que je fais ce qui n’est pas juste.

Mais pour qu’elle(s) raison(s) je refuse d’utiliser l’énergie de l’univers qui est disponible pour moi ?

De quoi ai-je peur ? Qu’est ce qui me fait « me ronger les sangs ? »

J’ai le sentiment profond de ne pas avoir été aimé de ma famille et je peux même avoir envie, d’une façon consciente ou non, de supprimer un ou des membres de celle-ci.

Je vis un conflit face à l’amour de mon clan.

Je n’ai aucune motivation, car je ne sais pas ce qui au fond de moi, me fait réellement plaisir.

Je ne suis pas en contact avec mon intérieur. L’avenir devient flou, incertain, dangereux. Mes pensées négatives envers moi-même drainent mon énergie. C’est comme si je ne pouvais pas intégrer la réalité physique.

lumiere au bout du chemin bien-être

J’accepte de dire oui à cette belle énergie prête à servir ma vie avec amour.

Je choisis avec soin les aliments qui m’aident à nourrir mon corps et mon système sanguin et à refaire mes forces.

A partir de maintenant, je regarde, j’observe et je découvre la joie autour de moi.

Elle est partout : en famille, au travail et avec les amis.

Ces êtres de lumière sont là, eux aussi, pour m’aider à grandir.

J’accepte de vivre ma vie au lieu de vivre celle des autres. Je reconnais mes désirs profonds.